L’évidence : Mon envie de soutenir Eduardo Firak, Ph. D. dans notre filiale d’ELLIO au Brésil. Eduardo y travaille d’arrache-pied depuis un an. Quoi de mieux qu’une visite pour comprendre où il vit, saisir les enjeux régionaux, m'imprégner des aspirations et innovations des pays du sud, l’aider dans sa visibilité ? Aussi l’opportunité de visiter ce beau pays, 7500km du nord au sud, je n’en verrai que la lisière… 

Le doute : ma responsabilité en tant que militante écolo. Aller à la COP30 signifie plusieurs voyages en avion, qui s’ajoutent à ceux de mes voyages en Europe... Sans compter une insertion périphérique dans un événement qui semble commercial et de lobbyistes, auquel on ne participe qu’à la lisière (cette lisière sera-t-elle mon thème récurrent?). 

UNE EXPÉRIENCE À TENTER ET À PARTAGER

C'est ma deuxième COP. Je me suis immergée dans celle de Paris, celle de tous les espoirs, des accolades. J'avais été gagnée par son énergie, dans ma ville, avec mes amies, qui m'ont embarquée dans le tourbillon des événements, des programmes, des changements de programme... Fierté nationale ! 

Je sais donc qu'autour de la COP, ce sont mille événements qui génèrent des rencontres, des envies, de nouvelles perspectives. C’est aussi, quand on le veut, découvrir un pays, rencontrer ses habitants et les organisations locales, tisser des liens… cette expérience semblait me tendre les bras. J’ai donc décidé d’y aller, pour un mois. Pour la vivre, mais aussi pour la partager. 

Je vous propose donc, au travers de 2/3 posts par semaine, de vous partager l’Avant-COP, la Lisière-de-la-COP, l’après-COP, mais aussi l’Autour-COP. Qui sont les personnes qui, dans ce pays dont on disait il n’y a pas si longtemps qu’il abritait le poumon vert de la planète, œuvrent à des pratiques plus respectueuses du vivant et de l’humain ? 

Je vous le dirai au prochain post !

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